La causerie du jeudi ... 2
Nouvelle année, nouvelle formule !
C'est l'hiver alors je vous propose une causerie au coin du feu ...
source : pinterest : escapadarural.com
Vous êtes bien installées ? Alors, on continue ... Je vais vous raconter les derniers potins !
* Job de rêve ...
Petite île du nord-ouest de l’Angleterre cherche aubergiste… et roi ! Non non, ce n’est pas une blague : au Royaume-Uni, l’île de Piel a entamé une campagne de recrutement pour trouver celui ou celle qui pourra reprendre les rênes de son unique pub, le Ship Inn. Dans le contrat qui débute en avril 2022, précise The Guardian, il faudra aussi s’occuper de son château du XIVe siècle. Certes, l’île de Piel est petite (10 hectares) et la météo y est aussi parfois difficile. Mais si vous acceptez ce poste, vous serez aussi nommé roi de l’île !
Sur le site de Barrow-in-Furness, la commune côtière en face de l’île, il est écrit que la personne en charge du pub est traditionnellement couronnée « roi » ou « reine de Piel » lors d’une cérémonie au cours de laquelle il ou elle se verra verser des seaux de bière sur la tête. Et tout client qui viendra s’asseoir sur le « trône » devra payer sa tournée ! Plus précisément, le poste vaut pour 10 ans et consiste à entretenir les infrastructures de l’île. Le « roi » ou la « reine » de Piel devra aussi garder de bons rapports avec le capitaine du ferry, qui rallie la côte et l’île d’avril à septembre uniquement.
(source : actu.fr)
* Comme un pénis ...
C’est assurément l’une des belles histoires de ce début d’année : un artisan peintre de New York, touché par une hypertrophie du nez qui lui rendait la vie impossible, a été opéré gratuitement par l’un des meilleurs chirurgiens esthétiques au monde, pour lequel il travaillait.
Conrado Estrada, 57 ans, avait commencé à remarquer des boutons sur son nez six ans plus tôt, ces derniers grossissant à vue d’œil. Une situation qui lui rendait la vie dure, comme il l'explique à la chaîne de télévision ABC7 : « Je me sentais mal. Quand je sortais, les gens me dévisageaient, les enfants demandaient à leurs parents ce qu’il m’était arrivé. »
Si des médecins lui ont prescrit de nombreux médicaments pour tenter de ralentir la progression de l’hypertrophie, rien ne marchait vraiment. Et Conrado Estrada éprouvait de plus en plus de difficultés pour respirer, en particulier lorsqu’il travaillait, mais aussi pour parler et pour manger. « Le nez atteignait mes lèvres donc à chaque fois, je prenais une bouchée, ça touchait la cuillère », détaille Estrada au New York Post. C’est en rencontrant le docteur Thomas Romo, directeur du département de chirurgie plastique du visage à l’hôpital de New York – une pointure mondiale – que l’homme apprend qu'il est atteint de rhinophyma. L’été dernier, Estrada décroche un job au domicile du prestigieux chirurgien, qui lui propose de l’opérer gratuitement (quand la plupart de ses opérations coûtent autour de 10 000 euros). « C'était assez sérieux, c'était comme s'il avait un pénis en guise de nez », témoigne le spécialiste dans le journal. « Je me suis dit : Pauvre gars, avec la façon dont fonctionne la chirurgie du visage, il ne sera jamais traité parce que d’une part, il y a peu de gens qui savent faire cette opération, et d’autre part, ils diront que c’est cosmétique et ils le feront payer pour ça », poursuit-il, cette fois-ci sur ABC 7.
« Au début, je pensais que c’était une blague », se souvient Estrada. « Mais quand le processus a commencé, avec les photos, le remplissage des formulaires, les examens médicaux, le vaccin contre le Covid, j’ai compris que ça arrivait vraiment. » Après une opération de deux heures pour enlever les glandes en dysfonctionnement et redessiner le nez du patient, Estrada a vu « sa vie changer ». « Je suis beaucoup plus heureux qu’avant », a-t-il assuré, remerciant le chirurgien et ses équipes. (source : bienpublic.com)
On cause, on cause et je ne m'étais pas aperçue qu'il était l'heure de déjeuner, vous restez ? Je viens de tester une nouvelle recette, vous me direz ...un croque-cake courgettes-chèvre-pesto
Il vous faut : 6 à 8 tranches de pain de mie sans croûte, 1 courgette, 200 g de bûche de chèvre, 1 c à soupe de pesto, 3 oeufs, 20 cl de crème liquide, 50 g de gruyère râpé, sel, poivre
* Fouetter les oeufs, la crème et le pesto dans un saladier . Assaisonner . Tailler à la mandoline de longues et larges tagliatelles de courgette .
* Couper les tranches de pain de mie pour les ajuster à la dimension du moule . En déposer une première couche dans le fond du moule . Verser le quart du mélange crème-oeufs-pesto dessus et répartir quelques tagliatelles de courgette . Recouvrir de fines tranches de bûche de chèvre . Renouveler l'opération 2 fois puis terminer par une couche de tranches de pain de mie . Verser le reste du mélange crème-oeufs-pesto et parsemer de gruyère râpé . Tasser légèrement en appuyant sur le dessus .
* Placer dans le four préchauffé à 180°C pendant 25 minutes . Laisser refroidir dans le moule pendant 15 minutes avant de démouler .
Allez, je dresse vite la table, une p'tite fleur pour faire joli ...
(source : pinterest)
"Que demande-t-on d'une fleur, sinon qu'elle soit belle et odorante une minute, pauvre fleur, et après ce sera fini. La fleur est courte, mais la joie qu'elle a donnée une minute n'est pas de ces choses qui ont commencement ou fin." (Paul Claudel)
Et pour digérer, je vous propose une balade ... dans la blogosphère !
* http://lescopainsd-abord.over-blog.com
* http://www.delicesdemimm.com
* http://retrochoz.canalblog.com
Avant de se quitter, petite séance de gymnastique, enfin, gymnastique des zygomatiques !
(source : facebook : humour gloire et beauté)
Très belle semaine , vous revenez jeudi prochain ?